

J’ai fini “Une valse pour les grotesques” de Guillaume Chamanadjian, c’est pas mal mais ça tournait vite un peu en rond.
Fini aussi “La dissociation” de Nadia Yala Kisukidi et je ne sais toujours pas quoi en penser. Ca part dans tous les sens, il y a des réflexions politiques, philosophiques, artistiques qui s’accrochent au milieu, des échappées fantastiques… J’aimerais bien qu’elle écrive un autre roman pour, peut-être, me faire une idée (ou peut-être pas). Mais je vous mets ce qui m’a fait le lire dans la quatrième: “Armée de l’art de la dissociation, d’une liasse de billets volée et d’un Manuel mouillé, une naine prend la fuite à la pointe du jour.”
How can people chose without weighing them?