

Est-ce que ce roman n’est pas une métaphore du difficile métier d’écrivain ? Le choix de « Mélanie » n’est-il pas le dilemme de l’auteur tiraillé entre le livre qu’il voudrait écrire et celui que son éditeur lui demande ? Que va-t-il se passer quand Eileen Bryan ne pourra plus se réfréner et laissera libre cours à sa passion incontrôlable, l’écriture ?
Je suis un peu en retard, mais merci !