Tu remarqueras souvent dans ce genre de discours que les gens utilisent du langage déshumanisant, comme “les cyclistes” ou “les écolos”, parce que ça facilite la poussée des idées divisives en dépeignant leur cible comme “autre”.
Ce discours sera rarement abordé par les citoyens de Montréal, mais plutôt par les banlieusards et ceux provenant de l’ouest de l’île, car ceux-ci n’utilisent pas eux même les modes de transport alternatifs à la voiture. Ils ont donc souvent de la difficulté à se mettre dans les souliers d’un montréalais à vélo.
C’est exactement la même histoire qui se déroule actuellement à Toronto, des banlieusards qui poussent pour empêcher les citoyens de la grande ville de se déplacer avec le moyen le plus efficace possible pour leur situation car ils ne se voient pas inclus dans les efforts d’urbanisation (parce que c’est pas à eux la ville).
Tu remarqueras souvent dans ce genre de discours que les gens utilisent du langage déshumanisant, comme “les cyclistes” ou “les écolos”, parce que ça facilite la poussée des idées divisives en dépeignant leur cible comme “autre”.
Ce discours sera rarement abordé par les citoyens de Montréal, mais plutôt par les banlieusards et ceux provenant de l’ouest de l’île, car ceux-ci n’utilisent pas eux même les modes de transport alternatifs à la voiture. Ils ont donc souvent de la difficulté à se mettre dans les souliers d’un montréalais à vélo.
C’est exactement la même histoire qui se déroule actuellement à Toronto, des banlieusards qui poussent pour empêcher les citoyens de la grande ville de se déplacer avec le moyen le plus efficace possible pour leur situation car ils ne se voient pas inclus dans les efforts d’urbanisation (parce que c’est pas à eux la ville).